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10 idées reçues sur les implants dentaires

La pose d’un implant dentaire, lorsqu’elle est bien menée, entraine moins de douleurs et de gonflements qu’une extraction dentaire simple par exemple. L'intervention est quasiment toujours couverte par des antibiotiques antalgiques et des anti-inflammatoires. Les suites sont mineures dans l’immense majorité des cas. Elles peuvent s’alourdir un peu en cas de reconstruction osseuse ou gingivale associée. Athenadental est une Société de distribution de produits dentaires en possession de plus de 5000 produits de grandes marques telles que NSK, JINME, TOSI, COXO etc. Ainsi que de diverses catégories : marathon micro moteur et micro moteur avec pièce à main. Tous les jours l’équipe d’Athenadental.fr s’efforce à dénicher de nouveaux produits dentaires pour répondre à vos besoins.

Il faut bien distinguer deux aspects du traitement implantaire : le placement de l’implant dentaire lui-même d’une part, et la connexion à cet implant de la prothèse "implanto-portée" d'autre part. L’implant en lui-même est une vis de titane faisant office de racine artificielle. Seule, cette vis est inutile au patient, et ne devient utile que lorsque la prothèse (couronne ou bridge, selon les cas) y est connectée. Le couple implant – prothèse remplit alors son rôle masticatoire et esthétique. Quelles sont les caractéristiques de moteur à air NSK Compatible ?

De fait, il faut donc au moins deux séances pour remplacer totalement une dent par un implant : une séance chirurgicale (pose de la vis) et une séance prothétique. Par ailleurs, l’os et la gencive sur le site devant recevoir l’implant ne sont pas toujours suffisants en quantité et/ou en qualité, il peut alors être nécessaire de reconstruire l’os et/ou la gencive avant le placement de l’implant, ce qui augmente le nombre des séances nécessaires.

Lorsqu’un implant ne tient pas dans la mâchoire, ce n’est jamais par un phénomène de rejet au sens médical du terme en fait. Cela n’a rien à voir avec les réactions immunologiques de rejet observées dans le cas des greffes d’organes (peau, rein…). En clair, ce n’est pas l’organisme du patient qui rejette un corps étranger.

En implantologie, on parlera donc d’échec implantaire et pas de rejet. Le phénomène d’ostéo-intégration, phénomène biologique qui se solde par l’ancrage de l’implant à la mâchoire, peut dysfonctionner pour différentes raisons : mécaniques ou infectieuses principalement, mais ce n’est jamais un rejet de principe du corps.

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