Peur du dentiste ? Des solutions existent !
L’angoisse de la douleur mais aussi de l’anesthésie, du bruit de la fraise, de l’odeur des produits sont autant de causes de trac, de larmes ou d’évanouissements assez fréquents dans les cabinets dentaires. Quatre français sur dix s’abstiendraient de consulter alors qu’ils en auraient besoin. Vous pouvez savoir plus de lampe à polymériser sur www.athenadental.fr

Selon un récent sondage 1, 54 % des Français éprouvent des craintes à l'idée de consulter leur dentiste. Si pour 35 % il ne s'agit que d'une légère appréhension, 19 % y voient un réel problème, 2 % avouant ne jamais consulter à cause de cela. Dans la majorité de cas, cette peur remonte à l'enfance, les plus âgés conservant le souvenir d'une mauvaise expérience (douleur, soins sous contrainte...) qu'ils transmettent souvent aux plus jeunes. Tous les âges et tous les milieux socioculturels sont concernés.
Quand la phobie du dentiste est tellement importante qu’elle empêche le suivi des soins, la bouche peut se retrouver dans un état qui nécessite de multiples interventions. Ces longs soins peuvent se faire sous anesthésie générale, au bloc opératoire. Détartrage, extraction de dent, pose de prothèse : tout est fait pour que le patient retrouve le sourire dès le réveil.
Le problème, c’est que qui dit phobie dit évitement. Or éviter le dentiste, c’est toujours une mauvaise idée : la santé dentaire demande en effet une visite par an, au moins pour effectuer un détartrage. Pour certains, la phobie du dentiste entraîne donc une qualité de vie très nettement diminuée, à cause de douleurs dentaires, de problèmes esthétiques liés aux dents, etc.
Pour aider les patients à se détendre lors des soins dentaires, les chirurgiens-dentistes peuvent leur faire respirer un gaz sédatif : le meopa. Il est autorisé dans les cabinets dentaires depuis 2009 et permet aux personnes très stressées de vivre l'acte médical de façon beaucoup plus détendue.
Cela passe souvent par une ou plusieurs visite(s) chez le dentiste, au cours desquelles aucun soin ne sera fait. La personne va simplement découvrir les lieux, écouter les bruits faits par les instruments, voire subir une petite anesthésie pour se familiariser avec la sensation (et la piqûre). Tout dépend bien sûr de ce qui, précisément, fait peur chez le dentiste. Le seul inconvénient, c’est que la thérapie prend du temps.